Le Gui, Viscum album est un sous-arbrisseau ou une plante épiphitoïde hémiparasite. C’est à dire que c’est une plate qui se développe et vit au détriment d’autres arbres ou plantes mais pas totalement, en effet le gui prélève de la sève brute mais présente de la Chlorophylle ce qui lui permet ainsi de synthétiser ses propres sucres, protéines… En Europe, les Druides la récoltaient pas que pour l’ornementation mais également pour ses bienfaits. Ils la considéraient comme miraculeuse.
Quelle partie de la plante est utilisée ?
Afin d’avoir le plus de principe actifs et donc un effet bénéfique, on retrouve le plus souvent l’actif sous forme de teinture mère. Une teinture mère est une solution hydro-alcoolique issu du mélange de la plante, ici du Gui, et d’alcool (éthanol). Le tout est mis en macération pendant au moins trois semaine entre 60 et 95 degrés. Il y a tout un travail de remuage pour récupérer le plus de principes actifs. A l’issu de cette macération, le tout est filtré et peut donc être utilisé dans les formulations chimiques, homéopathiques ou cosmétiques.
Les feuilles ou toute la plante sont utilisées.
En quoi le Gui est bénéfique ?
Le Gui a des propriétés vasodilatatrice mais ses feuilles contiennent également des polyphénols. Ces molécules sont riches en propriétés. Ce sont ses dernières qui confèrent au gui ses propriétés hypotensives. C’est à dire qu’elles permettent de diminuer la pression artérielle. D’où l’intérêt du Gui dans la crème Circulate.
Ainsi le Gui apporte à la Circulate un complément intéressant à l’eau de mer pour améliorer l’état des varices ou tout problème lié à la circulation sanguine (jambes lourdes, rosacées…)